Nigel Kennedy

Pour avoir été un de mes morceaux classiques préférés pendant longtemps, je croyais tout savoir, tout avoir entendu des « Quatre saisons » de Vivaldi (sûrement un des morceaux les plus accessibles pour les jeunes oreilles avec « Pierre et le Loup » de Prokofiev). J’avais été particulièrement sensible à l’interprétation de Yehudi Menuhin et je restais convaincue que cette œuvre ne me surprendrait plus : et pourtant !

 

Je fus happée par cette interprétation  qui me paraissait totalement différente. Ma surprise était-elle que ma première idée fut : « Putain il a rajouté des notes ça n’est pas possible autrement ! » tant j’avais l’impression qu’il y avait une richesse nouvelle dans ce que j’entendais.

 

A la fin du morceau j’ai entendu : Nigel Kennedy. Je me hâtais de faire des recherches sur ce violoniste et qu’elle ne fût pas ma surprise de découvrir que ce violoniste avait le look d’une rock star et qu’il ne se limitait pas à la musique classique.

 

Son jeu est tellement typique que je capable d  le reconnaitre alors que je n’ai quand même pas une oreille aussi exceptionnelle d’habitude,  mais son jeu a une couleur si caractéristique !



17/11/2011
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